Suite et fin samedi 5 octobre du XIXème sommet de la Francophonie, à Paris. Il sera question des nouveaux membres de l’organisation. Le ministre libanais de l’Information, sur place, a affirmé que son pays comptait sur la France, beaucoup plus que sur d’autres pays, pour défendre les intérêts du Liban, qui fait face à une offensive aérienne et terrestre d’Israël.
Sous la verrière du Grand Palais à Paris, un grand ballet diplomatique, au lendemain de l’ouverture du sommet de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), à la Cité internationale de la langue française, à Villers-Cotterêts. Vendredi 4 octobre, en Picardie, la secrétaire générale de l’institution, la Rwandaise Louise Mushikiwabo, a assuré dans son discours que l’OIF compterait bientôt plus que ses 88 membres à l’issue de la réunion de ce samedi. Parmi les candidats : l’ Angola, le Chili, la province canadienne de la Nouvelle-Écosse, la Polynésie Française, mais aussi l’État allemand de la Sarre.
Si ces nouveaux venus sont acceptés lors de la séance à huis clos, ils deviendront membres observateurs. Ils pourront être présents, sans droit de vote, aux grandes instances. Chypre, le Ghana, la Kosovo et la Serbie demandent pour leur part de devenir membre de pleins droits.
RFI.FR